"En 1969. j’avais perdu face à Jacky Ickx après une lutte de 90 minutes où nous nous doublions plusieurs fois par tour"
"En 1970, Ferdinand Piëch veilla à ce que nous puissions avoir une bonne chance de victoire grâce à un moteur plus puissant. Etre capable de gagner, juste un an après avoir perdu d’un cheveu, avait évidemment une connotation très spéciale. Porsche n’avait jamais gagné au classement général et ce serait aussi ma dernière course"
"J’avais annoncé mon arrêt de la compétition. J’en avais fait la promesse à ma femme. Elle avait commencé à me mettre la pression une ou deux années avant car nous avions perdu de nombreux amis. Je savais pertinement qu’il n’y avait aucune raison pour que je sois plus chanceux que les autres et qu’à un moment ou un autre la chance pouvait tourner"
"Ce fût vraiment émouvant d’avoir pu réunir tous ces éléments en 1970. Je ne me rappelle plus si j’avais versé une larme ou pas, mais j’aurai vraiment pu car je suis quelqu’un de très émotif".