Basée près de Guildford, l’équipe Sebah Racing du regretté Hugh Hayden (décédé le 23 octobre 2010) est fondée en 1990 et participe pendant une dizaine d'années à un championnat de Caterham.
C'est de là que vient le nom Sebah (sept ou seven, en langue arabe) qui fait à la fois allusion au passé professionnel de Hayden, lorsqu'il était entrepreneur en Afrique et au Moyen-Orient, ainsi qu’aux origines de la Caterham : la Lotus Seven !
Les débuts internationaux de Sebah remontent à 2001 avec une Porsche 911 en European Le Mans Series et à Petit Le Mans. L'année suivante, l'équipe anglaise s’aligne aux 12 Heures de Sebring, mais c'est en 2004 qu'elle se révèle en remportant le titre LM GT en Le Mans Series grâce à sa constance aux places d'honneur. Ce succès lui permet de débuter au Mans en 2005 avec Nielsen-Thyrring-Ehret, classés 19e.
En 2006, Sebah prend du recul, faute de pouvoir mener un programme dans de bonnes conditions. On retrouve Hugh Hayden en 2007 dans un rôle de management chez Felbermayr-Proton. En 2008, sa rencontre avec Speedy Racing lui donne l'occasion de relancer son écurie, l’alliance des deux permettant l'engagement d'une Lola-Judd en LM P2 et d’une Spyker d’usine en GT2. Le meilleur résultat de la saison reste une huitième place à Barcelone (2e en LM P2). Changement d'orientation en 2009 avec l'abandon de la Spyker au profit d'une LolaAston Martin, Speedy Sebah étant la seule équipe présente à la fois en LM P1 et LM P2. La Lola LM P1 de Belicchi-Fässler-Prost décroche une formidable deuxième place aux 1 000 km de Silverstone alors que la LM P2 de Kane-Leuenberger-Pompidou remporte sa catégorie au terme de la même épreuve, puis termine sa saison comme vice-champion Le Mans Series.
En 2010, l'équipe prend le nom de son principal sponsor, les montres Rebellion, et se recentre sur la catégorie LM P1 avec deux Lola au V10 Judd rebadgées Rebellion. Aux 24 Heures du Mans, aucune des deux ne rejoint l’arrivée, l’une abandonnant sur bris de boîte de vitesses (Andretti-Prost-Jani) et l’autre sur sortie de route (Boullion-Bellichi-Smith). Au terme de la saison 2010, les Rebellion décrochent les troisième et cinquième places du championnat Le Mans Series.
En 2011, l’écurie suisse poursuit et magnifie l’œuvre de Hugh Hayden en engageant un châssis Lola propulsé par un V8 Toyota, prouvant l’implication officielle du constructeur japonais. Cette voiture est pilotée par Nicolas Prost et Neel Jani sur l’ensemble de la saison, avec le renfort de Jeroen Bleekemolen aux 12 Heures de Sebring et aux 24 Heures du Mans. Rebellion Racing engage une seconde Lola-Toyota en d’autres occasions, en particulier aux 24 Heures du Mans pour Bellicchi, Boullion et Smith. Dans la Sarthe, la n°12 termine sixième mais surtout au rang flatteur de première des LM P1 essence alors que la n°13 abandonne sur sortie de route. Lors des courses suivantes, Rebellion Racing se met régulièrement en avant et termine là aussi première des voitures essence en ILMC. Parallèlement, grâce à l’engagement d’une voiture en Le Mans Series (BoullionBelichi), la structure suisse remporte ce championnat avec un point d’avance seulement sur Pescarolo Team.
Lors de l’année 2012, l’écurie s’engage en Championnat du Monde d’Endurance de la FIA avec toujours les mêmes machines, mais sous de nouvelles couleurs (le jaune et noir cher à Lotus) et toujours fort du soutien de Rebellion et de Toyota en tant que motoriste. Après des débuts difficiles à Sebring, les deux LM P1 brillent à Spa, terminant dans le sillage des intouchables Audi. Deux sont encore alignées au Mans. La 12, est toujours confiée à Prost et Jani avec le renfort du transfuge de la F1 Nick Heidfeld, alors que la 13 est pilotée par l’attelage Belicchi-Bleekemolen renforcé par l’ex-pilote Aston Martin Harold Primat. La 12 termine cinquième et première des LM P1 privées alors que la 13, onzième au classement général, connaît beaucoup de problèmes techniques. La fin de saison est toutefois remarquable pour l’écurie suisse, qui termine première à quatre reprises, sur cinq possible, de la classe LM P1 privée. Elle décroche avec brio le Trophée Endurance FIA 2012 des Equipes privées LM P1. Hors Championnat, Rebellion Racing remporte aussi l’édition 2012 de Petit le Mans avec Jani, Prost et Bellichi.
En vue de la saison 2013, l’équipe helvétique décide d’aligner une voiture en Championnat du Monde d’Endurance de la FIA et une en American le Mans Series et, parfois, ses deux Lola B12/60 Coupé-Toyota lors de certaines épreuves soigneusement sélectionnées. Ainsi ,aux 12 Heures de Sebring, le trio Prost/Jani/Heidfeld décroche une splendide troisième place alors que leurs équipiers se classent cinquièmes. Par la suite, en Championnat du Monde d’Endurance, Rebellion Racing continue sur sa lancée de 2012, classant systématiquement ses deux machines derrière les LM P1 officielles, mais toujours devant les autres équipes privées. Et le trio Prost/Jani/Heidfeld domine systématiquement l’autre triplette : Belicchi/Beche/Cheng. Aux Etats-Unis, le tandem Heidfeld/Jani termine deuxième à Laguna-Seca, puis à Long Beach et achève la saison par une deuxième victoire consécutive à Petit le Mans avec Nicolas Prost en renfort. Neel Jani, recruté par Porsche durant l’été, quitte ses compatriotes avec panache.
Au Mans, Rebellion Racing s’incline face à la HPD de Strakka Racing qui écourte sa saison sur cette victoire pour le compte des LM P1 privées. La Lola-Toyota n°12 poursuit vaillamment le championnat afin de décrocher un deuxième trophée FIA d’affilée. Au passage, Nicolas Prost et Mathias Beche prennent même la troisième place des 6 Heures de São Paulo, derrière les deux Audi R18 e-ton quattro, mais tous les esprits sont déjà tournés vers 2014 puisque l’équipe annonce ses projets et le lancement du développement d’une Rebellion R-One à moteur Toyota en partenariat avec Oreca.
Confrontée aux contraintes logistiques que rencontrent les fournisseurs spécialisés alimentant en pièces certains grands constructeurs en cette année de bouleversement technologique du sport automobile, la Rebellion R-One n’est pas prête à temps pour le début de saison 2014. Mathias Beche la conduit néanmoins quelques tours durant la semaine précédant les 6 Heures de Silverstone sur le circuit du Castellet près duquel est installé Oreca. Les deux Lola-Toyota sont autorisées à rouler une dernière fois en course à Silverstone pour suppléer les Rebellion R-One dont le baptême en compétition est reporté aux 6 Heures de Spa-Francorchamps WEC. Un baptême réussi pour la n°12 de Heidfeld/Prost/Beche, qui termine 7e à 10 tours des vainqueurs. La course de la n°13 de Kraihamer/Leimer/Belicchi se transforme en revanche en séance de développement de 47 tours qui aboutira à un abandon lié à l’électronique. Le nouveau règlement technique entré en vigueur en début d’année 2014 prévoit une allocation en carburant par tour à même de maintenir la compétitivité des voitures LM P1-L (pour Light), engagées par des équipes privées, face aux équipes d’usine comme Toyota, Audi ou Porsche, dont les LM P1-H (pour Hybrid) bénéficient de systèmes hybrides de récupération d’énergie. Lors des 24 Heures du Mans, Rebellion Racing signe un très joli résultat avec la 4e place de la 12 (Prost, Heidfeld, Beche) alors que la 13 (Bellichi, Leimer, Kraihamer) abandonne prématurément sur accident. La fin de saison voit la structure suisse dominer largement le classement LM P1 Light.
Persuadée que les moteurs turbos sont la bonne solution pour une équipe privée, la formation Rebellion Racing décide, en vue de 2015, de passer du bloc atmosphérique Toyota au V6 bi-turbo AER. Une lourde tâche qui empêche les Rebellion R-One de prendre part aux deux premières courses de la saison 2015. C’est donc avec beaucoup de questions que la structure suisse aborde la 83e édition des 24 Heures du Mans. Dès les essais libres et qualificatifs, les R-One font preuve d’une bonne pointe de vitesse, mais les soucis techniques s’accumulent pendant la course. Grâce à l’abnégation des mécaniciens, récompensés par le prix ESCRA, les deux équipages rallient l’arrivée avec le maximum de points dans l’optique du championnat, le trio Kraihamer/Abt/Imperatori, neuvième avec la 13, devançant l’équipage Beche/Heidfeld/Prost dans la 12. Peu en verve lors des deux épreuves qui suivent la course mancelle, Rebellion Racing conclut la saison en beauté avec trois victoires lors des trois dernières manches. Les Trophées Endurance FIA Equipes et Pilotes LM P1 privés tombent une nouvelle fois dans l’escarcelle de l’écurie suisse.
L’équipe poursuit sa présence en FIA WEC en 2016, toujours avec deux Rebellion R-One. Cela démarre de la plus belle des manières avec la troisième marche du podium au classement général des 6 Heures de Silverstone et des 6 Heures de Spa-Francorchamps pour le trio Tuscher/Kraihamer/Imperatori (n°13). Au final, Rebellion Racing remporte huit des neuf courses du Trophée Endurance FIA Equipes LM P1 privées. L’équipage de la n°13 domine la saison en empochant sept victoires mais la tâche leur est facilitée avec le retrait de la n°12, la voiture sœur, aux mains de Prost/Piquet Jr/Heidfeld. Ces derniers ont néanmoins le temps de remporter les 24 Heures du Mans dans leur catégorie (6e en LM P1) alors que la n°13 doit abandonner en Sarthe.
En 2006, Sebah prend du recul, faute de pouvoir mener un programme dans de bonnes conditions. On retrouve Hugh Hayden en 2007 dans un rôle de management chez Felbermayr-Proton. En 2008, sa rencontre avec Speedy Racing lui donne l'occasion de relancer son écurie, l’alliance des deux permettant l'engagement d'une Lola-Judd en LM P2 et d’une Spyker d’usine en GT2. Le meilleur résultat de la saison reste une huitième place à Barcelone (2e en LM P2). Changement d'orientation en 2009 avec l'abandon de la Spyker au profit d'une LolaAston Martin, Speedy Sebah étant la seule équipe présente à la fois en LM P1 et LM P2. La Lola LM P1 de Belicchi-Fässler-Prost décroche une formidable deuxième place aux 1 000 km de Silverstone alors que la LM P2 de Kane-Leuenberger-Pompidou remporte sa catégorie au terme de la même épreuve, puis termine sa saison comme vice-champion Le Mans Series.
En 2010, l'équipe prend le nom de son principal sponsor, les montres Rebellion, et se recentre sur la catégorie LM P1 avec deux Lola au V10 Judd rebadgées Rebellion. Aux 24 Heures du Mans, aucune des deux ne rejoint l’arrivée, l’une abandonnant sur bris de boîte de vitesses (Andretti-Prost-Jani) et l’autre sur sortie de route (Boullion-Bellichi-Smith). Au terme de la saison 2010, les Rebellion décrochent les troisième et cinquième places du championnat Le Mans Series.
En 2011, l’écurie suisse poursuit et magnifie l’œuvre de Hugh Hayden en engageant un châssis Lola propulsé par un V8 Toyota, prouvant l’implication officielle du constructeur japonais. Cette voiture est pilotée par Nicolas Prost et Neel Jani sur l’ensemble de la saison, avec le renfort de Jeroen Bleekemolen aux 12 Heures de Sebring et aux 24 Heures du Mans. Rebellion Racing engage une seconde Lola-Toyota en d’autres occasions, en particulier aux 24 Heures du Mans pour Bellicchi, Boullion et Smith. Dans la Sarthe, la n°12 termine sixième mais surtout au rang flatteur de première des LM P1 essence alors que la n°13 abandonne sur sortie de route. Lors des courses suivantes, Rebellion Racing se met régulièrement en avant et termine là aussi première des voitures essence en ILMC. Parallèlement, grâce à l’engagement d’une voiture en Le Mans Series (BoullionBelichi), la structure suisse remporte ce championnat avec un point d’avance seulement sur Pescarolo Team.
Lors de l’année 2012, l’écurie s’engage en Championnat du Monde d’Endurance de la FIA avec toujours les mêmes machines, mais sous de nouvelles couleurs (le jaune et noir cher à Lotus) et toujours fort du soutien de Rebellion et de Toyota en tant que motoriste. Après des débuts difficiles à Sebring, les deux LM P1 brillent à Spa, terminant dans le sillage des intouchables Audi. Deux sont encore alignées au Mans. La 12, est toujours confiée à Prost et Jani avec le renfort du transfuge de la F1 Nick Heidfeld, alors que la 13 est pilotée par l’attelage Belicchi-Bleekemolen renforcé par l’ex-pilote Aston Martin Harold Primat. La 12 termine cinquième et première des LM P1 privées alors que la 13, onzième au classement général, connaît beaucoup de problèmes techniques. La fin de saison est toutefois remarquable pour l’écurie suisse, qui termine première à quatre reprises, sur cinq possible, de la classe LM P1 privée. Elle décroche avec brio le Trophée Endurance FIA 2012 des Equipes privées LM P1. Hors Championnat, Rebellion Racing remporte aussi l’édition 2012 de Petit le Mans avec Jani, Prost et Bellichi.
En vue de la saison 2013, l’équipe helvétique décide d’aligner une voiture en Championnat du Monde d’Endurance de la FIA et une en American le Mans Series et, parfois, ses deux Lola B12/60 Coupé-Toyota lors de certaines épreuves soigneusement sélectionnées. Ainsi ,aux 12 Heures de Sebring, le trio Prost/Jani/Heidfeld décroche une splendide troisième place alors que leurs équipiers se classent cinquièmes. Par la suite, en Championnat du Monde d’Endurance, Rebellion Racing continue sur sa lancée de 2012, classant systématiquement ses deux machines derrière les LM P1 officielles, mais toujours devant les autres équipes privées. Et le trio Prost/Jani/Heidfeld domine systématiquement l’autre triplette : Belicchi/Beche/Cheng. Aux Etats-Unis, le tandem Heidfeld/Jani termine deuxième à Laguna-Seca, puis à Long Beach et achève la saison par une deuxième victoire consécutive à Petit le Mans avec Nicolas Prost en renfort. Neel Jani, recruté par Porsche durant l’été, quitte ses compatriotes avec panache.
Au Mans, Rebellion Racing s’incline face à la HPD de Strakka Racing qui écourte sa saison sur cette victoire pour le compte des LM P1 privées. La Lola-Toyota n°12 poursuit vaillamment le championnat afin de décrocher un deuxième trophée FIA d’affilée. Au passage, Nicolas Prost et Mathias Beche prennent même la troisième place des 6 Heures de São Paulo, derrière les deux Audi R18 e-ton quattro, mais tous les esprits sont déjà tournés vers 2014 puisque l’équipe annonce ses projets et le lancement du développement d’une Rebellion R-One à moteur Toyota en partenariat avec Oreca.
Confrontée aux contraintes logistiques que rencontrent les fournisseurs spécialisés alimentant en pièces certains grands constructeurs en cette année de bouleversement technologique du sport automobile, la Rebellion R-One n’est pas prête à temps pour le début de saison 2014. Mathias Beche la conduit néanmoins quelques tours durant la semaine précédant les 6 Heures de Silverstone sur le circuit du Castellet près duquel est installé Oreca. Les deux Lola-Toyota sont autorisées à rouler une dernière fois en course à Silverstone pour suppléer les Rebellion R-One dont le baptême en compétition est reporté aux 6 Heures de Spa-Francorchamps WEC. Un baptême réussi pour la n°12 de Heidfeld/Prost/Beche, qui termine 7e à 10 tours des vainqueurs. La course de la n°13 de Kraihamer/Leimer/Belicchi se transforme en revanche en séance de développement de 47 tours qui aboutira à un abandon lié à l’électronique. Le nouveau règlement technique entré en vigueur en début d’année 2014 prévoit une allocation en carburant par tour à même de maintenir la compétitivité des voitures LM P1-L (pour Light), engagées par des équipes privées, face aux équipes d’usine comme Toyota, Audi ou Porsche, dont les LM P1-H (pour Hybrid) bénéficient de systèmes hybrides de récupération d’énergie. Lors des 24 Heures du Mans, Rebellion Racing signe un très joli résultat avec la 4e place de la 12 (Prost, Heidfeld, Beche) alors que la 13 (Bellichi, Leimer, Kraihamer) abandonne prématurément sur accident. La fin de saison voit la structure suisse dominer largement le classement LM P1 Light.
Persuadée que les moteurs turbos sont la bonne solution pour une équipe privée, la formation Rebellion Racing décide, en vue de 2015, de passer du bloc atmosphérique Toyota au V6 bi-turbo AER. Une lourde tâche qui empêche les Rebellion R-One de prendre part aux deux premières courses de la saison 2015. C’est donc avec beaucoup de questions que la structure suisse aborde la 83e édition des 24 Heures du Mans. Dès les essais libres et qualificatifs, les R-One font preuve d’une bonne pointe de vitesse, mais les soucis techniques s’accumulent pendant la course. Grâce à l’abnégation des mécaniciens, récompensés par le prix ESCRA, les deux équipages rallient l’arrivée avec le maximum de points dans l’optique du championnat, le trio Kraihamer/Abt/Imperatori, neuvième avec la 13, devançant l’équipage Beche/Heidfeld/Prost dans la 12. Peu en verve lors des deux épreuves qui suivent la course mancelle, Rebellion Racing conclut la saison en beauté avec trois victoires lors des trois dernières manches. Les Trophées Endurance FIA Equipes et Pilotes LM P1 privés tombent une nouvelle fois dans l’escarcelle de l’écurie suisse.
L’équipe poursuit sa présence en FIA WEC en 2016, toujours avec deux Rebellion R-One. Cela démarre de la plus belle des manières avec la troisième marche du podium au classement général des 6 Heures de Silverstone et des 6 Heures de Spa-Francorchamps pour le trio Tuscher/Kraihamer/Imperatori (n°13). Au final, Rebellion Racing remporte huit des neuf courses du Trophée Endurance FIA Equipes LM P1 privées. L’équipage de la n°13 domine la saison en empochant sept victoires mais la tâche leur est facilitée avec le retrait de la n°12, la voiture sœur, aux mains de Prost/Piquet Jr/Heidfeld. Ces derniers ont néanmoins le temps de remporter les 24 Heures du Mans dans leur catégorie (6e en LM P1) alors que la n°13 doit abandonner en Sarthe.
2017 est un vrai tournant dans l’histoire de Rebellion Racing. Tout d’abord, l’équipe est renommée Vaillante Rebellion en hommage au célèbre héros de bande dessinée, Michel Vaillant, dont le prochain album « Rébellion » sortira au moment des 24 Heures du Mans. Ensuite, la structure helvétique a décidé de se retirer de la catégorie LM P1 à l’intersaison pour s’inscrire en LM P2 où la concurrence est plus féroce. Pour cela, deux Oreca 07 - Gibson sont engagées pour Nelson Piquet Jr, Mathias Beche et David Henemeier Hansson (n°13) et Bruno Senna, Julien Canal, Nicolas Prost (n°31). La dernière nommée se distingue dés la première manche à Silverstone avec une 2e place en LM P2. Elle récidive quelques semaines plus tard en Belgique, à SpaFrancorchamps, avec une nouvelle seconde place, ce qui la place à la 3e position du Trophée Endurance des Equipes LM P2. La n°31 fut moins chanceuse avec une 9e place de la catégorie suite à un contact avec un autre concurrent. Cela se passe mieux à Spa où l’équipage s’empare de la 4e place. A coup sûr, il faudra compter sur ces deux équipages de haut vol lors de cette 85e édition des 24 Heures du Mans. Vaillante Rebellion a une grande expérience du Mans et l’on retrouvera à coup sûr ces autos aux avantpostes. De plus, le retour de Michel Vaillant en Sarthe ravira les milliers de spectateurs présents.